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Jean-Sébastien Ferjou, journaliste, à propos du discours du président de Renaissance ce dimanche : « Gabriel Attal vit dans le passé et la nostalgie ».

Dimanche 6 avril, Gabriel Attal donnait un grand meeting visant à relancer Renaissance en vue de l’élection présidentielle de 2027. Nostalgique de l’ancien « nouveau monde », le secrétaire général Attal a voulu s’inscrire dans un face à face savamment calculé avec Marine Le Pen. Dans un monde qui s’effondre, peut-on encore maintenir l’illusion de la continuité avec les structures et les idées d’autrefois ? Pour en parler, Luc Gras.

Dans vos hebdos cette semaine : Marine par ci, Marine par là, on échappe difficilement à l'overdose, tant les hebdos se sont rués sur les résultats de son procès, quitte à faire passer au second plan le reste. Ce que relève, à juste titre, Le Point : “elle a en partie détourné l’attention des crapuleries d’une candidate dont le parti avait autrefois adopté le slogan «Mains propres et tête haute»…”. L’Express va jusqu’à taxer son procès “d’épisode 2 de la dissolution”, en ce qu’elle serait “la mutilation de notre démocratie fondée sur l’état de droit”.

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : les dissidents algériens en France sont inquiets : dans le viseur des “influenceurs” algériens, ils font l’objet de menaces. Marianne révèle des opérations secrètes attribuées à l'Algérie sur le sol français et européen, visant des opposants au régime : un ancien officier enlevé, un journaliste agressé, une tentative d’assassinat…

Et aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : Le Point fait l’état des lieux des troupes européennes, tandis que L’Express fait l’addition. Tout ça à cause du Mad in Usa, explique le Nouvel Obs. En attendant la guerre, un nouveau scandale de l’eau apparaît : celui de l’amiante. Ouf, Macron a tout de même le temps de s’occuper du Louvre ! 

La nouvelle ministre de l’Education nationale a présenté un certain nombre de mesures pour la rentrée 2025 afin de faire évoluer la réforme du « choc des savoirs » de Gabriel Attal. Les élèves seront-ils les grands perdants ?

Depuis la crise à Mayotte, le Président de la République et le Premier ministre sont ciblés par de vives critiques. Un article du Monde vient également de fragiliser l'image d'Emmanuel Macron.

Si la présidentielle avait lieu demain, Marine Le Pen verrait son score du premier tour progresser encore et l’écart se creuser face à ses adversaires Édouard Philippe ou Gabriel Attal.

Le directeur de la publication d’Atlantico, Jean-Sébastien Ferjou, était l’invité de l’Heure des Pros 2 Week-End sur CNews ce vendredi 6 décembre.

A la Une de vos hebdos cette semaine, c’est Notre-Dame qui rayonne encore : il fallait du solide, pas comme ce gouvernement qui, le temps de mettre sous presse avait déjà disparu. Parler de la censure au futur n’était pas chose facile…

C’est annoncé, ce lundi 18 novembre, le mouvement agricole de contestation, interrompu pendant le Salon de l’agriculture fin février, reprend... Montré du doigt, l’accord de libre-échange entre l’Europe et les pays du Mercosur ressemble à un prétexte pour mobiliser les troupes, alors que les vrais problèmes sont ailleurs. Mais comment les syndicats peuvent-ils avouer à leurs troupes une erreur de débutant, eux qui ont cru les promesses de Gabriel Attal alors Premier ministre ?

La ministre de l’Education nationale souhaite « augmenter le volume d'heures consacrées à la laïcité et aux valeurs de la République » dans la formation initiale des enseignants.

Si l'exercice budgétaire est aussi inflammable, c’est d’abord parce qu’il n’a pas de majorité politique mais c’est surtout parce que le déséquilibre des finances publiques est désastreux et que personne ne l’en a informé avant... pas même Gabriel Attal qui était pourtant au courant.

Les anciens membres du gouvernement entendent bien peser dans les décisions du gouvernement. Tandis que le budget arrive à l’Assemblée, ils espèrent éviter des hausses d’impôts trop importantes.

Après avoir prononcé un discours d’une heure et demie, dont chaque mot avait été pesé au trébuchet, Michel Barnier a écouté sans broncher les présidents des dix groupes de l’assemblée pendant environ trois heures.

A l'occasion d'une réunion du groupe Ensemble, Gabriel Attal s'est exprimé sur le nouveau gouvernement de Michel Barnier.

L’ancien premier ministre s’était construit un solide capital politique auprès de l’électorat de centre droit, de droite et même pour partie du RN. La stratégie adoptée depuis le 2e tour des législatives pourrait bien rapidement le dilapider.

Michel Barnier, qui succède à Gabriel Attal au poste de Premier ministre, va tout faire pour résorber la dette de l’Etat mais va-t-il être dans la continuité de tous ces prédécesseurs consistant à ne jamais consulter les entreprises de terrain ?

Moins de Bla-bla idéologique et plus d’efficacité dans l’action, les milieux d’affaires sont soulagés. Avec Michel Barnier, ils pensent que la gestion politique va redevenir sérieuse et traiter de vrais problèmes.

Dans le cadre du futur budget, Gabriel Attal souhaite diminuer les dépenses de l’Etat relevant du ministère du Travail. Ces sommes seraient ramenées à 53,2 milliards d’euros en 2025, soit 2,9 milliards de moins que dans la loi de finances de 2024.